Le centre collinaire du Piémont - Piemonte Agri Qualità

Le paysage rural et agraire

La plupart des terres du territoire « Chierese et Plateau de Poirino » peuvent être comprise dans le Plateau de Poirino, exception faite pour une étroite bande de collines entre Chieri et Moriondo.

Le plateau de Poirino est une superficie, suspendue quelques mètres au-dessus de l'actuel niveau de la plaine, dominé par la céréaliculture, qui confère à l'environnement une forte monotonie, et cache un territoire mouvementé que l'homme n'a jamais voulu modifier, peut-être à cause de la modeste fertilité de ces terres, pénalisées entre autre pour l'absence d'eau d'irrigation.
Au contraire vers le sud les ondulations des terrasses sont plus fréquentes et la morphologie, qui, par moments, peut rappeler les collines, avec de profonds talwegs et des versants rougeâtres, où la céréaliculture côtoie le pré stable dans les zones les plus déprimées, mais les parties boisées sont aussi présentes. À l'ouest, aux environs de Chieri, le territoire se transforme rapidement, avec une forte pression à la construction et à l'établissement qui transforme le paysage agraire; au contraire, vers l'est les caractères sont mieux conservés, avec la culture de la vigne qui concourt à former sa structure.

Sous le profil des centres de référence, Chieri représente le centre qui a exercé, au cours de l'histoire, la plus grande influence sur les territoires décrits, suivi par Santena et Poirino.
Au contraire, la zone du plateau plat, extrême ramification nord-occidentale du territoire d'Asti, est caractérisée par un système d'établissement humain radial, centré sur la ville neuve de Poirino.
Le XIIe siècle voit l'implantation de deux importantes fondations religieuses: l'abbaye cistercienne des Casanova et la prévôté de Corveglia (près de Villanova d'Asti). Le XIIIe siècle connaît une intense activité de fondation de nouveaux centres de la part des communes urbaines.
Par contre, la construction et la restructuration d'une série de châteaux, remontant aux derniers siècles du Moyen-âge, constituent les signes avant-coureurs du processus d'assainissement et de mise en culture commencé par la commune de Chieri et par quelques familles importantes d'Asti.

Itineraires

Produits

I prodotti, attribuiti al territorio sulla base dei comuni elencati e definiti dal Piano Paesaggistico Regionale, possono essere segnalati anche in territori in cui la produzione è marginale.

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Fermes

Recette

Tinche in carpione

Procédure

Pulite le tinche eliminando completamente le viscere. Lavatele e sgocciolatele bene per poi avvolgerle in un canovaccio pulito. Lasciatele asciugare in frigorifero per almeno 24-36 ore: questa operazione permetterà di friggerle senza infarinarle.
La frittura, in abbondante olio bollente, richiederà una decina di minuti. Prelevate poi le tinche dalla padella con una schiumarola, poggiatele su un foglio di carta assorbente perché perdano l'unto in eccesso e adagiatele affiancate in una terrina.
Affettate la cipolla e l'aglio e tagliate a rondelle la carota. Fate soffriggere queste verdure, assieme agli altri aromi, in due cucchiai di olio. Regolate di sale e pepe, versate l'aceto e mezzo litro d'acqua e portate a bollore. Lasciate sobbollire il composto sino a che il volume iniziale sarà ridotto a un quarto.
Versate il composto caldissimo sulle tinche e fatele insaporire per cinque giorni in frigorifero. Scolatele e servitele come antipasto.
La tinca dalla forma gibbosa e dalla livrea dorata è allevata da secoli negli stagni dell'area tra le province di Torino, Cuneo e Asti, dove già nel Medioevo esisteva una fitta rete di laghetti artificiali. Morbida e saporita, è protagonista della cucina locale (fritta, spesso - come in questa ricetta - marinata in carpione) e la sua produzione, in crisi per l'abbandono delle attività agro-zootecniche tradizionali, è stata rilanciata da un Presidio Slow Food ed è tutelata dalla Dop.